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Qui Sommes-Nous ?

  • : Les Amis de Karl Marx
  • : Rien d’autre qu’un lieu de rencontre pour tous les communistes qui se réclament des principes édictés par Marx, Engels et Lénine et qui proclament la nécessité d’un parti révolutionnaire. Un lieu de rencontre pour tous les militants toujours fidèles à un syndicalisme de lutte de classe.
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  • Description : Rien d’autre qu’un lieu de rencontre pour tous les communistes qui se réclament des principes édictés par Marx, Engels et Lénine et qui proclament la nécessité d’un parti révolutionnaire.
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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 11:56

Drapeaux-Basques-et-Communistes-Berlin-2010-manifestation-R.jpg

 

 

NOTRE POSITION DEMEURE INCHANGEE :

 

C'est demain, mardi 23 novembre 2010, que la Cour d'Appel de Pau dira la suite qu'elle entend donner au mandat d'arrêt européen délivré par les tribunaux espagnols qui exige l'extradition d'Aurore MARTIN, membre d'une organisation politique légale en France.

Les « Amis de Karl Marx » affirment, une nouvelle fois, que le mandat d'arrêt européen est une menace pour la liberté d'expression.

Procédure exceptionnelle établie sous couvert de « guerre au terrorisme », il peut devenir à tout moment une véritable machine de guerre contre les droits démocratiques fondamentaux et contre ceux qui, pour diverses raisons, se trouveraient « en opposition » avec un système économique, politique et social de plus en plus mondialisé et injuste.

C'est ainsi que tout mouvement révolutionnaire qui, par définition, met en cause la Constitution en vigueur, peut être catalogué de « terroriste » et poursuivi en tant que tel.

« Les Amis de Karl Marx » réclament l'abrogation immédiate du mandat d'arrêt européen, nouvelle étape dans le renforcement de l'autoritarisme inhérent à la domination de la bourgeoisie.

Cette procédure d'exception qui viole les droits fondamentaux ne doit pas être appliquée à Aurore MARTIN, ni a personne d'autre.

Boucau le 22 novembre 2010

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18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 10:41

balanza_poder_justicia.jpg

 

Pouvoir politique ou justice ?  Il faut choisir !...

 

 

 

Le 15 juillet 2010 s'est ouvert à Madrid un nouveau procès politique qui, encore une fois, va tenter  d'appliquer le nouveau raisonnement  juridique liberticide de l'Europe capitaliste.

Les inculpés incarcérés, puis libérés sous caution, risquent aujourd'hui de 10 à 18 ans de prison, auxquels peuvent s'ajouter 5 années supplémentaires réclamés par l'association d'extrême droite "Dignité et justice" (sic)...

 

Aucune possession d'arme, aucune utilisation d'explosif, pas plus d'ailleurs qu'aucun attentat ni assassinat n'est reproché aux 22 élus basques membres de l'Association "Udalbiltza" créée en 1999 et déclarée illégale par la justice espagnole en 2003.

 

Ce dont il est question c'est la criminalisation des objectifs.

 

Les accusés partagent le même objectif que ETA : L'indépendance du Pays Basque. Comme par ailleurs, l'association à laquelle appartiennent ces personnes mises en cause n'a jamais formellement condamné la méthode de lutte armée utilisée par ETA, ces gens là sont forcément des complices d'ETA.  (C.Q.F.D.)

 

Ce sont donc véritablement les objectifs que l'on réprime, ce sont les objectifs qui transforment des activités légales en actes terroristes.

 

C'est dans le cadre de cette véritable chasse aux sorcières que le juge espagnol Javier Gomez Bermudez a délivré un mandat d'arrêt européen à l'encontre de Xarlo Etchezaharreta, citoyen français, ordonnant ainsi "sa recherche, sa capture et son incarcération"...

La France va-t-elle optempérer et livrer à l"Espagne un de ses ressortissants qui n'a commis aucun délit ?

 

Les Amis de Karl Marx affirment que le M.A.E. est une menace pour la liberté d'expression et en réclament l'abrogation immédiate.

Procédure d'exception établie sous couvert de "lutte contre le terrorisme", il peut devenir à tout moment une véritable machine de guerre contre les droits démocratiques fondamentaux et contre ceux qui, pour diverses raisons se trouveraient "en opposition" avec un système économique, politique et social de plus en plus mondialisé et injuste : le capitalisme.

Le Mandat d'arrêt européen constitue en fait une nouvelle arme dans le renforcement de l'autoritarisme inhérent à la domination de la bourgeoisie.  

 

A la lumière des procès de Madrid et de l'exécution de certains MAE par la justice française, il apparait aujourd'hui très clairement que le monde unipolaire que l'on prétend nous imposer prend dangereusement les allures d'un univers carcéral et que l'idéologie "libérale" qui l'accompagne vise à institutionaliser l'exclusion et la criminalisation de la misère.

 

Le mandat d'arrêt européen lancé à l'encontre de Xarlo Etchezaharreta ne doit pas être executé.

 

  LENINE-copie-1-copie-1

 

 

 

 

 

 

Xarlo Etchezaharreta ( deuxième en partant de la gauche)

le 7 novembre 2007 à Tarnos lors de la célébration du 90ème anniversaire de la Révolution d'Octobre organisé par les AKM. 

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 19:31

 

mascarade06_39-copie-1.jpg

 

Attention ! Nos syndicats ne veulent pas de « mascarade de concertation » lors du sommet social qui se tiendra le 15 février prochain à l'Elysée. Sarkozy en a déjà les jambes qui tremblent !...

 

Lors de ce sommet, les partenaires sociaux exprimeront « l'exigence (!) d'ouverture de vraies négociations ». Façon de dire, sans doute, que jusqu'ici, il n'y en avait eu que des « fausses ».

Si cela devait mal tourner (Il faut entendre : si les revendications gouvernementales et patronales étaient trop « hard »), des perspectives d'action et de mobilisation pourraient être envisagées pour le mois de ...mars. ( Ah,bon ! Il nous reste encore un peu de temps pour graisser nos chaussures de marche.)


Le numéro 2 de la CFDT, un dénommé Marcel Grignard, nous rassure : Une telle mobilisation se tiendrait au delà de l'échéance des élections régionales des 14 et 21 mars, et pas avant. (Ouf ! Il ne s'agirait quand même pas que la Droite au pouvoir puisse s'imaginer que les éventuels manifestants la tiennent pour responsable du dynamitage de leurs conditions de vie et de travail...)


Mais au fait, j'y pense, pourquoi ne pas faire grève le jour de Pâques ? Nous pourrions après la messe engager les « Joaldun » pour défiler dans les rues de Bayonne au son des cloches. Pour conclure la manif dans la bonne humeur ne changeons rien : mutxico et saucisses-merguez sauront apporter le côté festif indispensable à notre cavalcade.


Pourtant et bien que ces exaltantes perspectives d'action et de mobilisation réchauffent le coeur du vieux militant CGT que je suis, ma nature inquiète me porte, tout d'un coup, à craindre le pire pour ma pension de retraite...C'est que compte tenu de la crise, il serait fou d'espérer que les patrons s'acquittent de leurs retards de cotisations ou qu'une loi taxe les revenus des capitaux. La Bourse n'y résisterait pas.

Mais je me rassure très vite. C'est Thibault qui est dans le vrai : Il va bientôt faire bon vivre (dès 65 ans) dans la Maison commune des régimes de retraites nivelés par le bas.


Allez, va...Je serai quand même au départ de la prochaine marche à pied à Bayonne et même que je porterai des souliers à crampons...en cas que ça dérape ! Va savoir...


Boucau le 9 février 2010

 

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26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 00:00
 

COMMUNIQUE


Le 25 septembre 2008, d'importants moyens policiers ont été mobilisés afin d'organiser une rafle de militants membres de BATASUNA, parti politique pourtant autorisé en France.

Les AKM constatent que ces arrestations spectaculaires illustrent l'adhésion du gouvernement français à la politique de criminalisation suivie par son homologue espagnol à l'encontre du mouvement populaire basque.

Nous avons dénoncé tout au long des récents procès de Madrid, la nouvelle justice européenne qui à travers ses mandats d'arrêts pose le principe de la criminalisation des objectifs

  • Tous les inculpés partagent le même objectif que E.T.A. : un Pays Basque indépendant.

  • Les partis, mouvements, associations ou médias auxquels appartiennent les personnes mises en cause ne condamne pas la méthode de lutte armée utilisée par E.T.A..

  • Conclusion : Ces gens là, forcément, sont des complices de E.T.A... (C.Q.F.D.)

Il s'agit donc bien de réprimer les objectifs. Ce sont les objectifs qui transforment les activités légales en actes terroristes.

Ce nouveau raisonnement liberticide est ainsi appelé à devenir la règle judiciaire de notre monde uni- polaire et menacera demain tous ceux qui contesteront l'ordre capitaliste établi. « Lorsqu'ils sont venus chercher...je n'ai rien dit! »

La rafle policière de cette semaine qui intervient après le blocage des comptes bancaires des militants de BATASUNA semble bien constituer un nouveau pas vers l'illégalisation d'un parti politique dont la légitimité a été reconnue par les urnes.

Les A.K.M. affirment, encore une fois, que ce n'est pas en illégalisant BATASUNA (que ce soit de ce côté-ci des Pyrénées ou de l'autre côté ), en niant les droits politiques de dizaines de milliers de citoyens et en poursuivant la voie de la répression que sera réglé le problème basque.

Pour les A.K.M., le processus de paix doit être remis sur les rails et se poursuivre jusqu'à son aboutissement qui doit inclure la possibilité pour le peuple basque de décider librement de son destin.

 


Boucau le 26 septembre 2008


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9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 00:00
 

Quelques mois après la rupture de la trêve décidée par E.T.A. et immédiatement après la volonté exprimée par IBARRETXE d'organiser une consultation de la population sur le futur du Pays Basque, vient de se produire l'arrestation de la Direction nationale de BATASUNA.

En martelant devant les médias que ces détentions auraient déjà dû se produire depuis plusieurs années, RAJOY nous éclaire sur la conception du PARTIDO POPULAR en matière de séparation du pouvoir politique et de la Justice ...

La tactique politique du P.S.O.E. et de ZAPATERO qui consiste à reprendre pour leur propre compte les thèses néo-fascistes du P.P. afin d'essayer de grappiller quelques voix de droite et d'extrême droite lors des prochaines élections trouve ici son application policière.

Une fois encore, « LES AMIS DE KARL MARX » réaffirment que ce n'est pas avec l'illégalisation injuste de BATASUNA et la négation des droits politiques de dizaines de milliers de citoyens que sera réglé le problème basque.

Le droit des nations à disposer d'elles-mêmes, c'est à dire de se séparer est un droit inaliénable.

La possibilité de décider de son destin doit être donnée au peuple basque.

Boucau le 9 octobre 2007



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2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 00:00
 

Déclaration


L'attentat à la voiture piégée qui s'est produit dans un parking de l'aéroport de Madrid Barajas et revendiqué par E.T.A. a provoqué la mort de deux travailleurs immigrés équatoriens ainsi que de nombreux blessés.

Les Amis de Karl Marx affirment, encore une fois, que de telles actions ne peuvent ni intimider ni désorganiser un gouvernement bourgeois et doivent donc être condamnées comme méthode de lutte.

De telles actions ne peuvent que renforcer l'appareil répressif de l'état espagnol, profiter à ses secteurs les plus réactionnaires et fascisants dont le seul et unique objectif est de faire échouer tout processus de paix en Euzkadi.

Il n'y a rien qui puisse remplacer l'agitation politique, ni maintenant, ni à quelque moment que ce soit.

Cela dit, nier la liberté pour les nations à disposer d'elles-mêmes, c'est à dire de se séparer, c'est défendre les méthodes policières de gouvernement au détriment des méthodes démocratiques.

« Les amis de Karl Marx » dénoncent le cynisme du gouvernement espagnol, du Partido Popular (P.P.) et de tous ceux qui exigent de E.T.A. l'abandon de la violence tout en maintenant et en renforçant la politique de répression et de criminalisation de tout le mouvement populaire basque.

La dernière décision du Tribunal Suprême Espagnol, en date du 19 janvier 2007, qui considère désormais comme « terroristes » trois organisations de la gauche abertzale (Segi, Haika et Jarrai) est un nouvel exemple de cette politique.

Il n'est pourtant pas possible d'exiger des concessions d'un interlocuteur avec, en guise de contrepartie, le maintien en prison de ses militants ayant déjà purgé leur peine, l'éloignement illégal des prisonniers de leur famille, l'injuste illégalisation et la persécution de son entourage par la négation des droits politiques de dizaines de milliers de citoyens.

L'absence de volonté du gouvernement de Zapatero de faire avancer la négociation s'est traduite par l'inexistence de pas concrêts en direction du règlement du conflit et en la poursuite d'une politique de vengeance de l'état espagnol à l'encontre des prisonniers.

Cette volonté de vengeance vient à nouveau de s'exprimer par le maintien en prison et le refus d'assigner à domicile le militant basque Ignacio de Juana Chaos, en grève de la faim depuis le 7 novembre 2006 et dont l'état de santé inspire les pires craintes aux médecins chargés de l'alimenter de force.

A tout moment, Ignacio de Juana Chaos risque la mort subite.

Voilà qui tranche étrangement avec la clémence dont la justice espagnole a fait preuve à l'égard de l'ex-général Rodriguez Galindo condamné à 70 ans d'incarcération dans l'affaire du G.A.L., remis en liberté suite à une légère affection cardiaque et qui coule aujourd'hui des jours heureux dans sa famille...

Il est clair que plutôt que de s'engager dans la voie de la recherche d'une courageuse et véritable négociation, le gouvernement préfére céder aux pressions maximalistes de la droite néofranquiste.

Pour « Les amis de Karl Marx », le processus de paix doit enfin démarrer et se poursuivre jusqu'à son aboutissement qui doit inclure la possibilité pour le peuple basque de décider librement de son destin

Boucau le 2 janvier 2007



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22 septembre 2006 5 22 /09 /septembre /2006 00:00
 

« Les Amis de Karl Marx » ont déjà dénoncé à plusieurs reprises, la volonté de vengeance de l’Etat bourgeois français envers tous les prisonniers politiques ; qu’il s’agisse de ceux d’Action Directe, du P.C.E.®, des GRAPO ou, bien sûr, des prisonniers basques se réclamant ou pas de l’organisation séparatiste E.T.A.


Cela dit et pour que tout soit parfaitement clair, nous avons également précisé à chaque fois que pour nous, rien ne saurait remplacer l’agitation politique, ni maintenant, ni à quelque moment que ce soit, et que nous ne saurions donc considérer comme de possibles solutions, des choix et des formes de lutte qui à notre avis, ne peuvent ni intimider, ni désorganiser le capitalisme et l’impérialisme.


Ces positions de principe rappelées et pour en revenir au cas de Filipe BIDART, ce dernier comme tous les prisonniers qui remplissent les conditions fixées par la loi, doit bénéficier de la liberté conditionnelle. Il s’agit là d’une mesure d’aménagement de la peine qu’il purge depuis plus de 18 ans prévue par les dispositions de l’Article 729 du Code Français de Procédure Pénale.

C’est la Juridiction d’Application des peines anti-terroristes qui doit décider lundi 2 octobre 2006, du sort qui sera réservé à la demande formulée par Filipe BIDART.


D’ici là, il importe donc de faire pression sur l’Etat bourgeois français afin que celui ci respecte sa propre légalité.


« Les Amis de Karl Marx » seront présents à la manifestation organisée par la Comité FILIPE ASKA le prochain samedi 30 septembre 2006 à Bayonne.


Fait à Boucau le 22/09/2006


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28 novembre 2005 1 28 /11 /novembre /2005 00:00
 



A Madrid, sous le générique 18/98, se tient le plus grand procès politique que l’Europe ait connu depuis la Libération de 1945.

Plus de 250 personnes issues de mouvements politiques, d’associations et de médias basques comparaissent pour activités terroristes. Elles risquent toutes, de très lourdes peines de prison.

Le juge GARZON qui n’est rien d’autre que le bras judiciaire de l’Etat espagnol, mène une chasse aux sorcières sans précédent de l’autre côté des Pyrénées tout en usant et abusant du mandat d’arrêt européen pour charger un peu plus la charrette des accusés.

Nous aurions tort de ne voir dans ce méga-procès qu’une grand’messe inquisitoire destinée à exorciser les vieilles terreurs de l’Espagne post-franquiste.

Ouvrons les yeux. Ce qui se passe à Madrid nous concerne.

Une nouvelle justice sécuritaire européenne :

Aujourd’hui à Madrid, aucune possession d’arme, aucune utilisation d’explosif n’est reprochée aux accusés, pas plus d’ailleurs qu’aucun attentat ni assassinat

Ce dont il est question c’est la criminalisation des objectifs.


Pour la nouvelle justice sécuritaire européenne, tous les inculpés partagent le même objectif que E.T.A. : Un Pays Basque indépendant.

Comme par ailleurs, les mouvements, associations ou médias auxquels appartiennent les personnes mises en cause n’ont jamais formellement condamné la méthode de lutte armée utilisée par E.T.A., ces gens là sont forcément les complices de E.T.A…. (C.Q.F.D.)

Ce sont donc véritablement les objectifs que l’on réprime, ce sont les objectifs qui transforment des activités légales en actes terroristes.

Et demain, à qui le tour ?

Nous posons clairement la question :

Tous ceux qui ont pour objectif le renversement du système capitaliste et l’instauration par la voie « démocratique » d’une société socialiste mais qui ne peuvent exclure que le prolétariat puisse avoir à faire face à la classe exploiteuse qui refuserait par la violence le verdict des urnes vont-ils être mis en état d’arrestation ?

Tous ceux qui ont pour objectif de stopper les méfaits de la mondialisation, la mal bouffe, la pollution de la planète et qui refusent de condamner les révoltés qui décident de porter un coup d’arrêt à l’accumulation des profits capitalistes et à la folie mercantile des marchés, vont-ils aller croupir en prison ?

Tous ceux, enfin, qui se déclarent solidaires de la cause Palestinienne, de la résistance Irakienne, des mouvements de libération nationale, de la Révolution cubaine et de ses dirigeants ; tous ceux qui réclament pour les peuples le droit de disposer d’eux-mêmes ; tous ceux-là vont-ils finir à Guantanamo pour avoir soutenu des organisations reprises sur les « listes noires » dressées par l’Empereur Georges W. BUSCH et ses seconds couteaux européens ?

NE PAS SE TROMPER DE COMBAT :

A travers l’exécution de certains mandats européens par la justice française, il est clair qu’un nouveau raisonnement liberticide est appelé à devenir la règle judiciaire de l’Europe capitaliste de demain.

A la lumière des procès de Madrid, il parait aujourd’hui évident que le monde unipolaire que l’on prétend nous imposer prend dangereusement les allures d’un univers carcéral et que l’idéologie « libérale » qui l’accompagne vise à institutionnaliser l’exclusion et la criminalisation de la misère.



L’Europe des travailleurs ne se fera pas DANS

mais CONTRE les institutions de l’Europe capitaliste.

Boucau le 28 novembre 2005


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1 juin 2005 3 01 /06 /juin /2005 00:00
 

COMMUNIQUE




Philippe BIDART est actuellement incarcéré à la centrale de Clairvaux (Aube) où il purge depuis plus de 17 ans une condamnation de détention à perpétuité sans peine de sûreté.


L’article 729 du Code français de Procédure Pénale prévoit que tout condamné à perpétuité peut présenter une demande libération conditionnelle après avoir effectué quinze années d’incarcération.

La liberté conditionnelle n’est ni une grâce, ni la remise de la peine restant à accomplir mais un aménagement de cette peine ayant pour but d’aider les détenus à se réinsérer dans la vie sociale.

Parmi les critères non cumulatifs d’obtention de la libération conditionnelle, il est indiqué que le détenu doit manifester des efforts de réadaptation sociale soit par le biais d’une activité professionnelle, l’assiduité à un enseignement ou à une formation professionnelle, un stage ou un emploi temporaire.


Philippe BIDART a déposé le 29 février 2004 une demande de mise en liberté conditionnelle qui semblait bien présenter toutes les garanties exigées par les textes. Sa requête a pourtant été refusée par la Cour d’Appel de Reims le 6 juillet 2004.

Il est vraisemblable que Philippe BIDART renouvelle sa demande en juillet prochain et que la justice examinera à nouveau son dossier courant octobre 2005.


Pour « Les Amis de Karl Marx », il s’agit, d’ici là, de faire pression sur l’Etat bourgeois français afin que celui-ci respecte sa propre légalité.


Comme tous les détenus qui remplissent les conditions fixées par la loi, Philippe BIDART doit bénéficier de la liberté conditionnelle, mesure d’aménagement de la peine ayant pour objectif sa réinsertion.


Boucau le 1er juin 2005

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6 mars 2005 7 06 /03 /mars /2005 00:00
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