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  • : Les Amis de Karl Marx
  • : Rien d’autre qu’un lieu de rencontre pour tous les communistes qui se réclament des principes édictés par Marx, Engels et Lénine et qui proclament la nécessité d’un parti révolutionnaire. Un lieu de rencontre pour tous les militants toujours fidèles à un syndicalisme de lutte de classe.
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L’actuel Président de Cuba a toujours vécu dans l’ombre de son frère et reste peu connu de l’opinion publique mondiale.

1. Raúl Modesto Castro Ruz est né le 3 juin 1931 à Birán dans la province d’Holguín, au sein d’une famille cubano-espagnole. Tout comme son ainé Fidel Castro, il suit des études au sein du collège jésuite de Dolores à Santiago de Cuba et au collège de Belén de La Havane.

2. Contrairement à Fidel Castro qui est membre du Parti Orthodoxe, Raúl Castro milite dès son plus jeune âge au sein des Jeunesses socialistes affiliées au Parti socialiste populaire qui est le parti communiste cubain de l’époque.

3. En 1953, il réalise un voyage de l’autre côté du Rideau de fer, à Vienne, pour participer à la Conférence internationale de défense des droits de la jeunesse.

4. Raúl Castro est très engagé au sein de la jeunesse étudiante et participe aux manifestations contre le gouvernement de Carlos Prío Socarrás régulièrement secoué par des scandales de corruption.

5. Le 26 juillet 1953, à l’âge de 20 ans, Raúl Castro participe avec son frère Fidel et ses camarades à l’attaque contre la caserne Moncada à Santiago de Cuba dont l’objectif est de renverser le dictateur Fulgencio Batista. Il a pour mission de prendre le contrôle du Palais de Justice de la ville.

6. Arrêté, il est condamné à 13 ans de détention avec les rares survivants de l’expédition du Moncada et purge sa peine dans la prison de Los Pinos, sur l’île de la Jeunesse.

7. En 1955, après avoir été amnistié par Batista, il s’exile au Mexique en compagnie de son frère Fidel et de plusieurs membres du Mouvement 26 Juillet.

8. Raúl Castro fait la connaissance d’un jeune médecin argentin nommé Ernesto Guevara et décide de le présenter à Fidel Castro.

9. Le 25 novembre 1956, il embarque avec son frère et 80 autres hommes à bord d’un bateau à destination de la province orientale de Cuba, dans le but de déclencher une guerre insurrectionnelle contre le régime militaire. Avant de monter à bord du Granma, Raúl Castro prend soin de rédiger son testament politique.

10. Le débarquement est un véritable désastre car les révolutionnaires étaient attendus par l’armée qui élimine une partie des combattants et disperse le reste. Raúl Castro évoquera la tragédie du 2 décembre 1956 en ces termes : « Il était 4h30 de l’après-midi quand vint l’hécatombe ».

11. Après avoir retrouvé son frère le 18 décembre 1956 à Cinco Palmas, Raúl Castro débute la campagne dans la Sierra Maestra comme simple guérillero et son lien de parenté avec le leader de l’Armée rebelle ne lui confère aucun privilège.

12. Raúl Castro est frappé par la solidarité et la générosité des paysans de la Sierra Maestra. Dans son journal, il écrit : « La façon dont ces paysans de la Sierra se dépensent sans compter pour s’occuper de nous et prendre soin de nous est admirable. Toute la noblesse et la grandeur d’âme cubaines se trouvent ici ».

13. L’Armée rebelle prend soin de bien traiter les soldats prisonniers. A ce sujet, Raúl Castro raconte : « On a apporté à manger aux trois et on leur a dit qu’on les remettrait en liberté et que l’on garderait uniquement leurs armes. Ils avaient de l’argent et des montres dont nous avions besoin, mais suivant nos principes, nous n’y avions pas touché […] On leur a demandé de signer un papier soulignant qu’ils avaient bien été traités. En conversant avec l’un d’eux sur un ton aimable, F. [Fidel] avait réussi à obtenir des informations d’une grande utilité ». Lorsque les guérilléros découvrent la présence d’un infiltré à la solde de la dictature au sein de leur troupe, ce dernier est exécuté. Raúl Castro écrit dans son journal : « Peut-être qu’en le torturant, il nous aurait fourni plus d’informations, mais même pour un traître aussi misérable, nous n’appliquons pas ces méthodes ».

14. En février 1957, Raúl Castro est le premier à rencontrer Herbert L. Matthews, le journaliste du New York Times qui allait révéler au monde l’existence d’une guérilla à Cuba : « J’ai tendu la main au journaliste, et me souvenant de mon rudimentaire anglais scolaire, je lui ai dit : « How are you ? ». Je n’ai pas compris sa réponse et ensuite F. [Fidel] est arrivé, et après l’avoir salué, il s’est assis en sa compagnie dans la cabane et a commencé l’interview journalistique, qui constituera sûrement un scoop ».

15. Après Che Guevara en 1957, Raúl Castro est nommé commandant de l’Armée rebelle en février 1958, ayant fait ses preuves sur le terrain. Il est chargé par son frère Fidel d’ouvrir un second front dans le nord-est de la Sierra Maestra avec la colonne de guérilleros n°6 nommée Second Front « Frank País », en l’honneur du leader du Mouvement 26 Juillet de Santiago de Cuba assassiné par la dictature en 1957. L’attribution du n°6 visait à tromper l’ennemi sur le nombre total de guérilléros qui, en réalité, ne dépassa jamais les 300 hommes armés.

16. Raúl Castro prend le contrôle des territoires libérés et crée une véritable structure autonome en établissant des hôpitaux, des écoles et plusieurs usines de fabrication d’armes et de chaussures.

17. Raúl Castro élabore dès 1958 le premier service de renseignements révolutionnaire. Il met également en place la nouvelle police révolutionnaire.

18. Les Etats-Unis avaient officiellement imposé un embargo sur les armes à Cuba en mars 1958. En réalité, ils continuaient à équiper secrètement l’armée cubaine. En juin 1958, Raúl Castro décide de dénoncer la collusion entre Batista et Washington par une action spectaculaire. Face aux pilonnages de l’aviation cubaine, équipée de bombes étasuniennes, il répond par « l’Opération anti-aérienne » en séquestrant plusieurs citoyens étasuniens y compris des militaires. Le but est de mettre un terme aux bombardements de la Sierra Maestra qui ont un impact meurtrier sur les forces rebelles mais surtout sur les populations civiles de la zone. L’Opération est couronnée de succès. Le Washington Post and Times Herald évoque « le traitement royal » dont ont bénéficié les otages : « Les militaires américains furent si bien traités, et si convaincus par les arguments des rebelles, que plusieurs d’entre eux souhaitaient rester et combattre Batista ». « Un gars épatant, ce Raúl Castro », écrit de son côté la revue étasunienne Time, en citant un otage, ajoutant que le jeune commandant « souhaitait donner une leçon à Washington ».

19. En 1958, Raúl Castro impose le paiement d’un impôt révolutionnaire à toutes les entreprises y compris les multinationales étasuniennes.

20. Au triomphe de la Révolution, lors de la formation du gouvernement provisoire, Raúl Castro n’occupe aucun poste.

21. Le 26 janvier 1959, Raúl Castro épouse Vilma Espín Guillois, combattante clandestine qui avait participé au soulèvement armé du 30 novembre 1956 à Santiago de Cuba, en soutien au débarquement du Granma. Elle sera la fondatrice de la Fédération des femmes cubaines.

22. En février 1959, il remplace Fidel Castro en tant que ministre des Forces armées lorsque ce dernier est nommé chef du gouvernement par le Président Manuel Urrutia. Il dirigera le Ministère de la Défense jusqu’en 2008 et en fera l’institution la plus efficace de Cuba, autosuffisante en production agricole grâce à l’Union agro-pastorale militaire.

23. De 1959 à 1965, Raúl Castro doit faire face aux actes terroristes et aux sabotages organisés par la CIA qui frappent tout le pays. Il raconte : « Parfois, j’arrivais au Ministère des forces armées et venaient quatre ou cinq collaborateurs, qui faisaient le lien avec les différents territoires, armées et régions du pays. Pour gagner du temps, ils ne me faisaient pas de rapports. Ils venaient avec une liste des événements des dernières 24 heures, ou des 12 dernières heures : des dizaines de maisons à tabac incendiées à Pinar del Río, des dizaines de champs de canne brûlés à travers le pays, des sabotages électriques. Parfois, je leur disais : ‘Dites-moi le plus important’, et cela dura cinq ou six ans ».

24. Dès 1959, Fidel Castro recommende Raúl Castro comme son successeur au cas où il viendrait à être assassiné.

25. Depuis 1959, Raúl Castro est, avec son frère, le seul membre de la famille Castro à occuper un poste politique à Cuba.

26. En 1961, Raúl Castro est nommé à la Direction nationale des Organisations Révolutionnaires Intégrées (ORI) qui regroupent le Mouvement 26 Juillet de Fidel Castro, le Directoire Révolutionnaire des étudiants et le Parti Socialiste Populaire.

27. En 1963, il occupe également la Direction du Parti Uni de la Révolution Socialiste qui remplace les ORI.

28. En 1965, le Parti communiste de Cuba (PCC) est créé et il est nommé Deuxième secrétaire.

29. Avec l’adoption de la nouvelle Constitution de 1976, Raúl Castro est élu vice-président de la République, poste auquel il sera réélu jusqu’en 2006. Il est également député et vice-président du Conseil d’Etat et des Ministres de 1976 à 2006.

30. En novembre 1976, il est promu Général de l’Armée.

31. A partir des années 1980, Raúl Castro développe le concept de « Guerre de tout le peuple » face aux menaces d’invasion lancées par les Etats-Unis. Cette stratégie de défense militaire consiste à armer tout le peuple et à déclencher une guerre de guérilla contre tout envahisseur : « La Guerre de tout le peuple signifie que pour conquérir notre territoire et occuper notre sol, les forces impériales devraient lutter contre des millions de personnes et devraient payer avec des centaines de milliers et même des millions de vies, la tentative de conquérir notre terre, d’écraser notre liberté, notre indépendance et notre Révolution […]. Peu importe la puissance de l’empire, peu importe ses techniques et ses armes sophistiquées, il n’est pas en conditions de payer le prix d’une telle aventure ».

32. En 1993, en pleine Période spéciale marquée par une grave crise économique suite à la disparition de l’Union soviétique et à la recrudescence des sanctions économiques imposées par Washington, Raúl Castro met en garde les Etats-Unis contre toute tentative d’agression : « La lutte serait sans front ni arrière-garde, dans chaque coin du pays. Pour cela, nous comptons, en plus des troupes régulières, sur les milices des troupes territoriales et les brigades de production et de défense organisées dans chaque province et dans les 169 municipalités. On combattrait dans les plus de 1 400 zones de défense si l’ennemi était capable de les atteindre toutes, chose impossible, car il aurait besoin de millions de soldats et même ainsi il serait extrêmement faible car partout il pourrait tomber sur une mine, être liquidé par une balle ou une grenade, et les embuscades seraient son cauchemar. […] Dans une guerre prolongée, si un franc-tireur sur deux ou trois – nous en avons des dizaines de milliers – élimine un yanqui, de préférence un officier, est-ce que l’envahisseur pourrait assumer autant de pertes et poursuivre l’agression ? […]. Dans notre doctrine, les troupes terrestres sont les forces décisives, puisque les combats, une fois que l’ennemi débarque, seraient livrés sur notre sol, d’homme à homme, à portée de fusil. Et dans ces conditions, la supériorité morale des hommes qui défendent leur patrie est infiniment supérieure à celle de l’envahisseur haï. […] Le sol leur brulerait les pieds, des entrailles de la terre, après les frappes aériennes, les combattants sortiraient pour régler les comptes sur le sol sacré de la patrie qui n’admet pas les bottes d’envahisseurs ».

33. En 1998, 40 ans après avoir été nommé Commandant de l’Armée Rebelle, il devient Commandant de la Révolution.

34. Le 31 juillet 2006, en vertu de l’Article 94 de la Constitution, Raúl Castro remplace son frère Fidel Castro, victime d’une grave maladie, et devient Président de la République par intérim.

35. En 2007, Raúl Castro lance une vaste consultation nationale dans le but de procéder à une « actualisation » du modèle socioéconomique du pays.

Comme son frère ainé, Fidel, Raul donne une grande importance à l’intégration latino-américaine en tant que président de la CELAC . Ici Raul avec la présidente brésilienne, Dilma Roussef.

36. En février 2008, le Parlement cubain élit Raúl Castro à la Présidence de la République. Il succède officiellement à son frère qui a annoncé son retrait de la vie politique. Pour arriver à la tête de l’Etat et du gouvernement, Raúl Castro a dû passer par deux processus électoraux. Il a d’abord été élu au suffrage universel et secret comme député à l’Assemblée nationale. Ensuite, le Parlement l’a élu Président du Conseil d’Etat et du Conseil des Ministres.

37. En septembre 2008, Raúl Castro décide de donner les terres non cultivées en usufruit aux agriculteurs afin d’augmenter la production agricole dans un pays qui importe plus de 80% de ses matières premières alimentaires.

38. En décembre 2008, Raúl Castro réalise sa première tournée diplomatique internationale en tant que Président de la République et rencontre Hugo Chávez au Venezuela et Lula au Brésil.

39. En novembre 2010, le projet d’actualisation du modèle socioéconomique est soumis à un vaste débat populaire qui implique 8 millions de personnes. Après avoir été modifié, il est adopté en avril 2011 et ouvre plusieurs pans de l’économie au privé. Près d’un demi-million de Cubains travaillent désormais dans le secteur privé.

40. Le 16 avril 2011, Raúl Castro célèbre le 50ème anniversaire de la Déclaration du caractère socialiste de la Révolution cubaine en organisant le VIe Congrès du Parti communiste de Cuba, où il est élu Premier secrétaire et remplace ainsi officiellement Fidel Castro.

41. En 2010 et 2011, suite à un accord avec l’Espagne et l’Eglise Catholique cubaine, Raúl Castro décide de libérer tous les prisonniers dits « politiques » à Cuba. Certains choisissent de quitter le pays alors que d’autres restent dans l’île.

42. En novembre 2011, Raúl Castro simplifie les démarches administratives pour le secteur immobilier. Désormais, les Cubains peuvent acheter et vendre leur bien sans autre formalité qu’une visite chez le notaire. Auparavant, il fallait obtenir l’autorisation du Ministère du logement. Afin d’éviter toute concentration de biens dans un marché déficitaire, les Cubains ne peuvent posséder plus de deux produits immobiliers, dont l’un doit être situé à la campagne.

43. En mars 2012, Raúl Castro reçoit la visite du Pape Benoît XVI. « Notre gouvernement et l’Eglise catholique, apostolique et romaine à Cuba maintenons de bonnes relations », déclare-t-il.

44. En décembre 2012, Raúl Castro décide de généraliser le système de coopératives à tous les secteurs.

45. En janvier 2013, répondant à une forte demande populaire, Raúl Castro décide d’éliminer les obstacles bureaucratiques tels que la « carte blanche » et la « lettre d’invitation » afin de faciliter les voyages des Cubains à l’étranger. Mais désormais, ce sont les ambassades occidentales qui exigent des Cubains une « lettre d’invitation ».

46. Le 28 janvier 2013, Raúl Castro est élu à la présidence intérimaire de la Communauté des Etats latino-américains et caribéens (CELAC) qui regroupe les 33 pays d’Amérique latine et de la Caraïbe, infligeant ainsi un sérieux revers diplomatique aux Etats-Unis dont l’appel à isoler Cuba n’a pas été suivi.

47. En février 2013, Raúl Castro est réélu à la Présidence de la République pour un mandat de cinq ans. Suite à la réforme constitutionnelle, les mandats exécutifs sont désormais limités à 10 ans. Ainsi, Raúl Castro se retirera du pouvoir au plus tard en 2018.

48. Le 10 décembre 2013, lors des obsèques de Nelson Mandela en Afrique du Sud, Raúl Castro rencontre le Président Barack Obama pour une poignée de main historique. Tout comme son prédécesseur Fidel Castro, il fait part publiquement de sa volonté de dialogue avec les Etats-Unis : « Si nous souhaitons réellement avancer dans les relations bilatérales, nous devons apprendre à respecter mutuellement nos différences et nous habituer à vivre pacifiquement avec elles. Dans le cas contraire, nous sommes disposés à vivre cinquante-cinq autres années dans la même situation ».

49. Sa fille Mariela Castro est directrice du Centre national d’éducation sexuelle (CENESEX) et défend les droits des personnes homosexuelles, lesbiennes et transsexuelles à Cuba.

50. Raúl Castro est réputé pour son franc-parler et son ouverture d’esprit. Il n’hésite pas à se montrer très critique et dénonce publiquement les dérives du système, ce qui lui vaut la réputation d’être à la fois le meilleur journaliste de l’île et le dissident le plus incisif.

Salim Lamrani

Article original publié initialement en portugais sur le site Opera Mundi :

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Published by Evanosiam - dans international
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George Habash, «Il a vécu pour son peuple et il est mort pour son peuple," la Palestine

Posté le Le 12 janvier 2016

Peuple du Venezuela et des Peuples du Monde,

Les communautés organisées et Autogovernos populaire,

Mouvements organisationnelles et populaires et des Forces révolutionnaires,

Média, nationale et internationale,

Pour l'opinion publique, nationale et internationale,

Pour chacun de ceux qui luttent pour la vie,

Le monde,

Frères et Sœurs:

George Habash, «Il a vécu pour son peuple et il est mort pour son peuple," la Palestine.

Revendication de ceux qui ne tombe pas sur les luttes révolutionnaires, la Coordination Simon Bolivar rappelle les nouvelles générations, l'exemple d'un guerrier qui était ferme dans ses convictions de liberté et de l'anti-impérialisme, comme George Habash, un des principaux promoteurs de la lutte palestinienne contre l'occupation israélienne et le fondateur du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP).

Habash est né le 2 Août 1926 à la ville de Lydda en Palestine sous mandat britannique (aujourd'hui Lod d'Israël), où 10 000 de ses habitants palestiniens ont été contraints de quitter le territoire et dépouillés de leurs biens lors du déclenchement de la guerre de 1948, votre localité a été occupé par des groupes sionistes, traversée tard surnommé le Mars de Lydda mort.

George, après avoir obtenu de médecine, en 1951, a mis en place une clinique pédiatrique à Amman, qui ont tour à tour avec son travail dans les domaines de réfugiés palestiniens en Jordanie.

En 1951, Habash, avec son ami Haddad, a fondé le Mouvement des nationalistes arabes (MNA). En 1957, il a participé à un coup d'État a éclaté contre la monarchie en Jordanie et dans la clandestinité.

Après la guerre des Six Jours, dans lequel les pays arabes ont été incapables de battre Israël en Décembre 1967, Habache est devenu le député dans le Front Populaire pour la Libération de la Palestine, qui a été le fondateur et le secrétaire général, et deux ans ensuite proclamé lui-même marxiste-léniniste.

L'organisation a jailli à la gloire à la fin des années 1960 et début des années 1970, avec de nombreux enlèvements d'air bruyants. Dans son action la plus importante, la milice du FPLP détourné avec une précision militaire de quatre avions de l'Ouest avec plus de 500 personnes à bord en Septembre 1970, en représailles pour le soutien des puissances occidentales à Israël. L'action a été résolu avec la libération d'un grand nombre de prisonniers et le roi de Jordanie a été ridiculisé. Trois des appareils ont été prises à partir d'un aéroport en Jordanie, tandis que le quatrième, l'un des jumbo US PanAm a été détruit au Caire. Aucun passager n'a été blessé.

À la fin des années 70, le FPLP a préconisé l'éradication de «l'entité sioniste" par la lutte armée et, à la suite de cette prémisse, Habash oppose depuis des décennies à toute négociation et simple reconnaissance de l'Etat d'Israël. Le FPLP a été présenté au monde comme l'une des factions palestiniennes plus fermes dans la lutte contre l'occupation israélienne.

En 1972, des problèmes de santé ont forcé Habash diminuer son contrôle dans l'organisation, mais vous ont laissé leurs forces pour repousser l'Organisation FPLP pour la Libération de la Palestine, avec qui il partageait la cause, mais pas ses méthodes.

En 1980, une crise cardiaque tout en réduisant davantage leur influence au sein du Front populaire, dont le leadership a été progressivement pris en charge par les nouvelles générations de militants. La signature des Accords d'Oslo a finalement rompre avec les chefs et les dirigeants politiques de la région, qu'il a accusé de vendre la cause palestinienne.

En 2000, Habash installe définitivement à Amman, et il est décédé des suites d'un cancer, le 26 Janvier 2008.

Servir leur exemple pour la formation dans les valeurs et les croyances des jeunes du monde entier, notamment en Amérique latine, à faire face à l'ensemble du processus de l'ingérence et de la colonisation que certains veulent pouvoir contre notre souveraineté.

Sauver Mouvement Révolutionnaire souveraineté politique du peuple et le renforcement de la construction d'un nouveau modèle politique et populaire révolutionnaire de notre peuple, en plus de l'État et le capitalisme,

Avec les peuples du monde, Venceremos!

Venezuela, Libertadores Terre, 523 ans après le début de la résistance anti-impérialiste en Amérique, et 205 ans depuis le début de notre indépendance,

Coordination Simon Bolivar

Solidarité populaire révolutionnaire, internationaliste, indienne, écologiste et profondément humain.

http://www.coordinadorasimonbolivar.org/

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Posté le Le 12 janvier 2016

A propos de la destitution de Rousseff

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La décision de la Chambre des Députés Président d'accepter la demande de destitution du président Dilma Rousseff, formulée par Hélio Bicudo (hors Royaume-Uni), Miguel Reale Jr. (PSDB) et d'autres, sera certainement au centre des discussions politiques dans les prochains jours , semaines,mois. Ce processus tend à être longue et tumultueuse, avec les allées et venues au sein du gouvernement et du Congrès, impliquant des ministres et les partis parlementaires ladite base de soutien au gouvernement, au sein du Comité spécial qui examinera la demande de mise en accusation dans la plénière Chambre des représentants, la Cour suprême, tous marqués par un certain nombre d'accords et de trahisons, d'échanges de faveurs et de complots de toutes sortes - c.-à-bourgeois politique dans toute sa plénitude sans leurs masques habituels - et avec une certaine réflexion sur les rues, dans les manifestations des deux côtés. Pour ou contre toutes les factions bourgeoises(PT, PCdoB, CUT, PMDB, PSDB, Força Sindical, le Brésil Libre circulation vient à la rue, etc.) va défendre sa position sur destitution signifie la défense de la démocratie, les institutions de l'Etat de droit démocratique et la sortie de la crise politique, peut-être aussi la sortie de la crise très économique.

A partir de maintenant, et à tout moment, la classe ouvrière et les communistes seront appelés à se positionner sur la destitution de toute façon «indirecte», le thème du domaine dans les nouvelles, soit par des pressions directes, les parties gauche ' "(sic!), les syndicats," mouvements populaires ", dans les lieux de travail et de militantisme ou, plus important encore, par leurs propres travailleurs les plus avancés, les bases ou les supporters, amis et lecteurs.

L'idéologie dominante bourgeoise et de ses appareils idéologiques d'État - qui cherchent toujours à limiter les luttes de classe des classes dominées dans les limites de «revendications» institutionnelle - visera à limiter cette position au sujet de la procédure de destitution nécessairement un choix binaire: oui ou non et aucune autre hypothèse ou possibilité.

Pire encore, sous l'hégémonie des positions bourgeoises réformistes, les syndicats, les syndicats et les "mouvements populaires" va pousser le prolétariat et les communistes de prendre position pour la défense du gouvernement bourgeois de Dilma et le PT, sa légitimité électorale, et de la défendre ce processus peut être (plus) une "opportunité" pour les militants à soutenir le gouvernement et à faire pression pour modifier le rapport des forces, l'adoption d'une politique «progressiste», contrairement à la politique récessive actuelle "néolibérale". Un exemple de ceci serait déjà les manifestations du 16 Décembre et la chute de Joaquim Levy du ministère des Finances.

Nous devons, bien sûr, il est très clair que cette position réformiste du PT, la CUT, le MST, le MTST et d'autres en faveur du gouvernement bourgeois de Dilma et le PT, de sorte que la position "anti-impeachment" est seulement le plus âgé, l'opportunisme explicite et délavée.

Quelle doit donc être la position du prolétariat et les communistes avant ce moment important de la conjoncture politique actuelle du Brésil? En d'autres termes, peuvent la situation brésilienne actuelle, la classe ouvrière et les communistes prendre parti dans les conflits entre factions bourgeoises en faveur de l'un ou l'autre?

La réponse à ces questions devrait être le même poète: Et le travailleur dit: Non! / Et les travailleurs ont fait forte / Dans sa résolution.

L'action indépendante de la classe ouvrière: principe marxiste-léniniste

Premièrement, elle doit réaffirmer une position principe du mouvement communiste: le prolétariat et les communistes doit adopter sa propre position autonome, indépendante dans sa lutte de classe contre la bourgeoisie, comme entre bourgeoisie et prolétariat contradiction est inconciliable. Tout les alliances avec d'autres prolétaires classes opprimées, avec les secteurs de la classe moyenne ou même peut-être avec les petits exploitants, devraient être subordonnés à des objectifs futurs de leur mouvement, à savoir le renversement du pouvoir bourgeois.

Voilà ce que dit Marx et Engels là 167 ans: qu'il était grand temps que les communistes exposent ouvertement au monde entier, de publier leurs points de vue, leurs buts et leurs tendances, et le mouvement prolétarien, le mouvement de la bourgeoisie des fossoyeurs, Il est un mouvement autonome. Et ils ont rempli une décennie et demi plus tard: l'émancipation de la classe ouvrière doivent être conquis par la classe ouvrière elle-même.

Ce fut l'une des questions clés à partir de laquelle diviser le mouvement syndical et les communistes au XXe siècle. D'une part, conduit par les grands révolutionnaires du siècle dernier, notamment Lénine et Mao, pour lequel le hégémonie du prolétariat dans sa lutte de classe contre la bourgeoisie et les autres classes exploiteuses est fondamentale pour la réussite du processus révolutionnaire. D'autre part, les réformistes, les révisionnistes et des opportunistes de différentes nuances, unis par leur subordination politique, idéologique, programmatique et pratique à leurs bourgeoisies nationales, invertébrés praticiens de crétinisme parlementaire, et qui a toujours cherché, par ses activités dans le syndicat et le mouvement populaire, limiter ou même paralyser la lutte de la classe ouvrière et d'autres classes opprimées, subordonnant les intérêts des employeurs.

Si ce principe marxiste-léniniste est fondamentale pour définir la position politique du prolétariat et les communistes, il est également essentiel que ce soit l'analyse béton de granulats correcte de la situation concrète, même âme vivante du marxisme-léninisme.

Analyse concrète de la situation concrète de la situation brésilienne et le processus de mise en accusation

L'analyse concrète de la situation concrète dans l'actuel Brésil, par rapport à la procédure de mise en accusation, le point de vue prolétarien, englobe au moins la critique de l'idéologie juridique bourgeoise et son abstrait et concepts formels (la «démocratie», «liberté» «égalité»), la critique des 13 ans du gouvernement du PT, et une évaluation de la crise économique, pour terminer avec l'analyse de la crise politique actuelle, à savoir l'analyse de la lutte de classe.

1 - la démocratie bourgeoise et factions bourgeoises contestent la possession de l'appareil d'Etat capitaliste

Toutes les factions bourgeoises impliquées dans la demande de procédure de destitution pour défendre la «démocratie», «État de droit démocratique» et «institutions». Pour ces déclarations purement idéologiques, le prolétariat et les communistes ont leur critique marxiste-léniniste sur deux niveaux.

Tout d'abord, nous affirmons en autant de mots ce que toutes les factions impliquées affaire, à tout prix, pour cacher: derrière les mots vides de sens sur la «démocratie», raccroche une véritable guerre entre les factions bourgeoises pour le pouvoir, ou plutôt dire, la possession provisoire de l'appareil d'Etat pour le rendre mieux servir leurs fins, pour servir les intérêts de la fraction ou des fractions de capital qui cherchent le sens du processus d'accumulation, la faction dominante bourgeoise.

En outre, le prolétariat et les communistes doivent être radical dans sa critique de l'idéologie juridique bourgeoise.Comme déjà dit Engels, la conception du monde (l'idéologie) de la bourgeoisie est un concept juridique, qui est toujours représenté dans les affres de la féodalité, contre les privilèges «divin» et de la noblesse héréditaire. Corollaire de cette origine et la classe qui sert cette idéologie juridique est fondé sur des concepts tels que la «liberté» et «égalité», en particulier pour acheter et vendre. Cette idéologie juridique, incarné dans la loi est nécessairement un caractère formel (de ne pas traiter avec le contenu effectif de chaque relation juridique qui réglemente, mais comme ils se produisent) etabstraite (en ne considérant pas les relations sociales concrètes, mais seulement sa conceptualisation et ordonnance). Le célèbre pilier de l'idéologie juridique bourgeoise, «tout le monde est égal devant la loi" est l'exemple classique d'une définition formelle (toujours contredite par de nombreuses réglementations au sein du système juridique très bourgeoise) et abstraite (aucun rapport avec le jour le jour les classes dominées et leur exploitation).

Il n'y a aucune autre raison que le régime politique de «l'égalité» et «liberté» bourgeoise (vous répéter: abstraite et formelle) est la démocratie bourgeoise, concept tout aussi abstrait et formel. Une parenthèse est fait ici nécessaire: cela ne signifie pas que le capitalisme, la bourgeoisie ne pas utiliser, si nécessaire, des régimes dictatoriaux ouvertement, comme le fascisme et le nazisme en Europe et des dictatures militaires en Amérique latine, qui ont toujours été soutenus par leur bourgeoisie de la capitale nationale et internationale, sur la base de bonnes affaires et de gros profits apaisés. En bref, la démocratie bourgeoise ou dictature bourgeoise, les deux sont des régimes politiques de domination (dictature) classe de la bourgeoisie sur le prolétariat. De toute évidence, le prolétariat et les intérêts communistes arrêtent leurs combats avec la plus grande liberté possible, des libertés, ils doivent commencer, chaque instant du régime politique bourgeois.

D'après ce que nous avons exposé ci-dessus, deux aspects doivent être soulignés. La démocratie bourgeoise, avec sa «liberté» et «égalité» des composants abstraits et formels de l'idéologie juridique bourgeoise, non seulement ne génère pas l'égalité et la liberté de béton - il ya égalité entre dominants et dominés? - Comment, précisément, le régime politique sous lequel reste actuellement au Brésil et en grande partie du monde, l'exploitation capitaliste. Dans la vie quotidienne du prolétariat et des classes dominées en vertu de la lutte de classe, les «droits», «liberté» et «égalité» sont privés de mille manières: l'appropriation, sans paiement d'une partie de leur voyage, la faible les salaires, les conditions de travail réelles, sur les longs voyages, les longues heures de déplacement domicile-travail, dans des conditions de logement précaires, sans parler de chômage lui-même, la faim et les plus viles agressions quotidiennes de différents types sur le prolétariat, autres classes dominées et leurs enfants.

La seconde est que toutes les factions de la bourgeoisie, pour ou contre la destitution de Dilma, partagent cette même idéologie et se tiennent à partir du point de vue des intérêts de la même classe, sont de la même position de classe: bourgeois. Dire qu'ils partagent la défense de la continuité du statu quo capitaliste au Brésil.

La position de classe du prolétariat des communistes, fait donc de la critique marxiste-léniniste nécessaire de l'idéologie bourgeoise, montrer ce qu'elle couvre et le service de qui elle est; ne tolérera pas ce différend institutionnel pas avec les limites étroites de ce qui est permis par la bourgeoisie; et refuser d'avoir en permanence - est ce processus de mise en accusation, est l'élection - il suffit de choisir parmi les candidats bourgeois présentés, la soi-disant «moindre mal», un «meilleur explorateur" (sic!).

2 - Le caractère de classe des gouvernements PT (Lula et Dilma)

Le lecteur qui nous a accompagnés ici peut parfaitement d'accord avec le principe marxiste-léniniste de l'action indépendante de la classe ouvrière et la critique des communistes à la démocratie bourgeoise et toujours interroger légitimement si le PT, en fait, le gouvernement constituerait une " faction bourgeoise ". Voilà pourquoi nous devons aller de l'avant avec l'analyse concrète de la situation concrète et évaluer lesquels les gouvernements du PT, Lula et Dilma, en fait servis.

Pour commencer, même le plus ardent PT défendre, à cette date tardive, ces 13 années du gouvernement Lula et Dilma ont de rien de plus que d'un gouvernement avec une plus grande préoccupation sociale constitué (rapport à la précédente), ce qui aurait légèrement diminué pauvreté et les inégalités, en gardant des soins constants de ne pas affecter le «système». Autrement dit, un gouvernement de la classe la collaboration, la position politique que les classes dirigeantes ont toujours utilisé pour maintenir leur domination. Ainsi, même pour les défenseurs des gouvernements Lula et Dilma, il est gouvernements qui ont tenté et tentent de concilier l'inconciliable, donc plus une subordination de classes prolétarienne du gouvernement et d'autres dominé la domination bourgeoise.

Cependant, cette évaluation ne tient bénigne pas l'essence de la performance du PT au gouvernement. Dans les faits et des politiques concrètes (et non d'une idéologie indulgent et auto-justificatrice), les gouvernements PT ont commencé avec une alliance formelle avec le Parti libéral (PL), qui a indiqué à la vice-présidence de la candidature de Lula le leader des employeurs José de Alencar (Coteminas). La prochaine étape de la campagne était de signer la fameuse "Lettre aux Brésiliens», dans lequel il a défendu le capitalisme et la continuité de la politique économique bourgeoise appliquée par le PSDB. Commencé gouvernement, avec Antonio Palocci au ministère des Finances et le banquier Henrique Meirelles (Banque de Boston) avec la Banque centrale, que la politique a été non seulement maintenu en pleine comme radicalisé: autant d'intérêt que l'excédent primaire a été augmenté par rapport à gauche par FHC. Sa première action au Congrès était d'approuver une autre série de la réforme des retraites.

Bénéficié du cycle de hausse des prix internationaux des matières premières des années 2000 et l'entrée de centaines de milliards de dollars de capitaux étrangers au Brésil (bien sûr, Lula, entre autres choses, a éliminé l'impôt sur ​​le revenu sur les bénéfices des capitaux étrangers en 2006 !), Lula a déclaré que dans son gouvernement le Brésil était devenu un pays sérieux, qui prend soin de vos finances au sérieux, si digne de confiance (la capitale) internationale, concrétisée par l'obtention de la soi-disant «investment grade» par les agences Note en 2008. Et il avait raison. Voyons ce que la confiance en quelques chiffres:

• la valorisation du capital fictif investi dans la Bourse de São Paulo a augmenté de 500% de 2003 à 2010, soit une augmentation de plus de 400 milliards $ en capital étranger investi là;

• la dette extérieure (? Remarquer qu'il aurait terminé) doublé à plus de 450 milliards $;

• l'investissement étranger en titres publics domestiques a augmenté de presque zéro à 100 milliards $;

• investissements directs étrangers dans le pays ont atteint 680 milliards $ à la fin de son gouvernement, une augmentation de près de 600%; et

• les profits des banques ont atteint près de 100 milliards de R $ en 2010, a également presque doublé, même en tenant compte de l'inflation, le gouvernement Lula.

Ces politiques capitalistes mises en œuvre par le gouvernement Lula ont également été accompagnées par des discours à la défense de la bourgeoisie brésilienne. Ou quelqu'un a oublié ses discours appelant les propriétaires de l'usine de sucre de canne et de l'agro-industrie nationale héros du monde? Ou, les affirmations répétées que la bourgeoisie n'a jamais gagné autant d'argent que dans votre gouvernement?

Déjà le gouvernement Dilma démarre allé faire face à une situation économique différente, avec la fin de la croissance de 2005 à 2010 des mini-cycle de devenir stagnante, et à partir de l'année dernière, une grave récession, qui cette année est déjà en cours appelé par les économistes bourgeois début d'une dépression. Conformément à la position de classe prises par les gouvernements du PT, les politiques économiques adoptées dans la nouvelle situation ont montré que les principaux bénéficiaires des politiques du gouvernement sont les mêmes Rousseff du gouvernement de Lula: la bourgeoisie et toutes les classes dirigeantes.

Les deux principales mesures de politique économique prises par le gouvernement du premier mandat de Dilma étaient les exonérations de taxes sur le capital - qui est, augmentation des profits - et l'octroi de prêts de la BNDES avec négatifs taux d'intérêt réels à grands monopoles opérant dans Brésil - évidemment avec le même objectif. 2,011 jusqu'ici, les exonérations fiscales sont élevées à R de 470 milliards $, tandis que les prêts du gouvernement à la BNDES (dette publique) pour cette prêtent à grands monopoles sont à 520 milliards $. Ie, (seulement) les (deux) principales politiques économiques engagées par les subventions du gouvernement Dilma représentaient au profit de la bourgeoisie, en particulier le capital financier, et d'autres classes dirigeantes dans le montant de près de 1 billion $ US!

Pour la classe ouvrière et d'autres travailleurs, politique "anti-crise" dans le deuxième mandat du gouvernement Dilma aller dans l'autre sens: en plus de l'explosion du chômage, qui atteint déjà près de 10%, et la baisse réelle également près de 10% des salaires un resserrement des règles de l'assurance-chômage et les primes salariales, et une loi qui permet la diminution de près de 30% des coûts des employeurs avec des salaires, hypocritement appelé emploi Politique de protection individuelle (EPI).

En bref, dans les périodes de croissance ou d'essayer d'éviter la récession, bénéficier au profit des patrons. Une fois installé à la récession et en sortir, accroître l'exploitation de la classe ouvrière. Comme on peut avoir aucun doute sur le caractère de classe des gouvernements PT de Lula et Dilma? Soyons catégorique: les gouvernements sont de la bourgeoisie, la bourgeoisie et de la bourgeoisie.

3 - La crise du capital au Brésil

La procédure de destitution Dilma, comme le Collor en 1992, est renforcé dans (mais non limité à) un scénario de crise grave du capital, ce qui a conduit (avec d'autres facteurs) à une baisse record de sa popularité, . environ 10% Notre thèse matérialiste est que la crise du capital actuellement en cours au Brésil - suraccumulation crise et la chute du taux de profit - agit comme un facteur déterminant en fin de compte sur l'évolution économique, provoquant un grave, répandue et la réduction soutenue de la production, avec des impacts significatifs sur les politiques économiques, en moyenne l'opinion publique propre et la crise politique.

Les conséquences de la crise de l'impérialisme, y compris les changements dans la nouvelle division internationale du travail - en particulier l'aggravation des contradictions capitalistes en Chine et son impact sur ​​la réduction de leurs taux de croissance et, par conséquent, la chute des prix internationaux des produits de base - , la récession de 2009 à 2010, la croissance du Brésil et de la marche progressive qui a suivi la récession actuelle, conditionné les mesures initiales de la politique économique du gouvernement Dilma - tout pour stimuler la reprise ou l'extension du taux de profit - tels que les exonérations fiscales et des prêts à taux d'intérêt réels négatifs (mentionnées dans l'article précédent).

Étaient de la taille / grandeur que ces politiques ont atteint, votre coût fiscal de plus de 100 milliards $ US par an et son incapacité à empêcher la récession de l'installation qui a marqué la fin de l'appui qui leur est donné par le capital financier international - a expliqué par des abaissements suivis le pays par les agences de notation - et pour une grande partie de la capitale nationale. Pour ces raisons, la bourgeoisie a décidé de remplacer l'équipe économique, la nomination d'un nouveau ministre des Finances (Bradesco), et l'inflexion de la politique économique pour les anti «travail» des «réformes», l'ajustement budgétaire, tarifaço, inflation et des taux d'intérêt élevés.

Encore une fois l'application de ladite de Lampedusa - "Si nous voulons que tout continue comme il est, il est nécessaire que tout change" - Dilma, qui avait remplacé le "développement" Mantega par «néolibérale» Levy, veut maintenant à croire que la quadrature Cercle: nommé ministre des Finances le "développement" (combattu avec Levy) et «libéral» (combattu avec Mantega) Nelson Barbosa. Dans son discours inaugural, le nouveau ministre se vantait de R $ 134 milliards de l'ajustement de cette année, l'achèvement du "travail" anti- "réforme", il a prêché la nécessité de revoir "les dépenses obligatoires du budget", et a annoncé plus de privatisations et un nouveau cycle de «réforme» de la pension pour le premier semestre de 2016. Son premier acte en tant que ministre assistait à une conférence organisée par la banque américaine JP Morgan, synonyme de capital financier et l'impérialisme depuis l'époque de Lénine.

Les objectifs de la politique économique actuelle de Dilma (avant Levy, maintenant avec Barbosa), qui a le soutien explicite ou obséquieux du PT et ses alliés sont connus: l'approfondissement de la récession déjà profonde visant à regagner la «compétitivité» de la production capitaliste . internes façon capitaliste pour faire la «compétitivité» de la classe ouvrière ont longtemps connu: augmenter le chômage que nécessaire pour permettre briser la résistance des salaires nominaux et de réduire ainsi les coûts de production. Et pourtant, aggraver les conditions de travail et d'accroître l'exploitation des travailleurs qui conservent leur emploi. Ces moyens, cherchent contrecarrer / augmenter leurs profits et augmentent la productivité.

Conditionnée par les changements dans la nouvelle division internationale du travail et approfondie par des mesures de politique économique Rousseff, la récession actuelle progresse à grands pas pour devenir une dépression économique prolongée, dépassant l'ampleur de la crise au début des années 1990 et même de la décennie 1980, comme l'indique même un nombre croissant d'économistes bourgeois.

Face à cette situation grave pour le prolétariat et les autres classes opprimées, sur les mesures concrètes prises par le gouvernement du PT, de même que ses partisans dans le mouvement syndical et "populaire" poursuivre son soutien, quoique gêné? Comment peut la CUT, le MST, le MTST, entre autres, proposer à la classe ouvrière et les masses populaires dans les rues dans la défense d'un gouvernement qui ne vous appartient pas, un gouvernement bourgeois? Et pire encore, vouloir diriger le prolétariat et les classes dominées pour appuyer et soutenir le gouvernement Dilma contre destitution - affirmant que l'absence d'alternative - et en ajoutant que le gouvernement doit changer ses politiques. Outre la défense évidente de sa "petite bouche" des fonds publics, cette position est, répétition, l'opportunisme unique.

4 - La crise politique révèle la pourriture et l'identité des factions bourgeoises (PT, PSDB, PMDB, etc.) et génère le processus de mise en accusation

Dans ce cas, nous discutons, il est nécessaire de souligner que, d'abord, et étant tout à fait évident sans qu'une crise économique des dimensions actuelles, il y aurait ce processus de destitution. Toutefois, cela ne suffit pas le point de vue analytique. Nous devons analyser leurs propres déterminations immédiates de cette crise politique (et de ne pas chercher à le réduire à sa propre crise économique), y compris l'approfondissement de la lutte des classes dominées.

De gigantesques manifestations de Juin 2013, la popularité de tous les gouvernements a baissé presque constamment et unanimement. Le Dilma, en dépit de sa ré-élection serrée à la fin de l'année dernière, a chuté de plus que tous les autres, pour atteindre 8%. Comment la politique est définie par l'affrontement constant de factions opposées, bien que nous avons affaire à des factions situés dans le même domaine dans la lutte de classe, une faiblesse d'un côté renforce son adversaire.

Parmi les raisons de la très faible popularité du gouvernement Dilma ne sont pas seulement la récession, mais aussi ses politiques de basculement soudain, perçus comme électoraliste escroquerie. Ils sont toujours pertinents pour le grand discréditer le gouvernement actuel les allées et venues de ses ministres et les dirigeants constants, en disant quelque chose dans une journée juste pour lui refuser le lendemain, ses alliances erratiques et physiologiques, en plus des anecdotes particulières tous ses discours.

Pour tout cela ajoute à un facteur important contingent qui a été crucial pour la situation politique: l'opération Lava-jet. De plaintes influence localisées colportage, la corruption et la corruption, la coordination entre un juge, un groupe de travail du Ministère public fédéral, la police fédérale et la Cour suprême ont déployé l'opération initiale dans plus de 20 niveaux (jusqu'à présent ), nucléé en accablant la corruption chez Petrobras. Les escroqueries Wash Jet, ont été ou sont arrêtés d'importants dirigeants du PT et d'autres parties, les dirigeants de Petrobras, hommes d'affaires et un banquier. Les cycles successifs de "dénonciations gagnantes" élargir la portée des enquêtes et une enquête et arrêté et est sur la liste des présidents de la Chambre des députés et le Sénat.

En bref, un gouvernement faible et impopulaire; une grave récession; le patronage et carrément du chantage par défaut de l'activité parlementaire; et les impacts de lavage Jet, principalement sur ​​le PT et sa base alliée dit. Nous avons ensuite combiné les principaux facteurs de la crise politique actuelle. Il se trouve que l'on peut être pleinement compris que la crise politique du point de vue des différentes factions de pouvoir impliquées. Dans vient la mise en accusation.

Sur la crise politique et la mise en accusation, de sorte que le prolétariat et les communistes ne peuvent en aucun cas tomber dans les discussions juridiques stériles, légalistes, institutionnel sur l'interprétation correcte d'une loi de 1950 à la lumière de la Constitution de 1988 ne peut pas, soit, tomber détournement d'analyser la question de point de vue de l'intégrité personnelle (ou son absence) de Dilma. Beaucoup moins dans la discussion abstraite de savoir si ce processus est ou non constitutionnel, législatif, en faveur des "institutions démocratiques", "l'état de droit démocratique», ou quelque chose comme ça. Toutes ces innombrables variations du débat sur ​​la crise politique et destitution, nous voyons ad nauseam dans la presse, sont limitées aux étroites frontières institutionnelles et la bourgeoise et intérêts réformistes.

Le prolétariat et les communistes doivent faire face à la crise politique et le processus de mise en accusation tels qu'ils sont en réalité: une course serrée pour le pouvoir, ou plutôt, la possession temporaire de l'appareil d'Etat, se sont battus entre les différents groupes de bourgeois, ceux affrontés dans la dernière élection (PT et PSDB) et d'autres (comme PMDB) qui fidèlement l'équilibre éternel, il se trouve maintenant dans une position de concurrence aussi. Et cette lutte pour le pouvoir, la possession temporaire de l'appareil d'Etat bourgeois, visant à le «privilège» de mettre en œuvre un programme bourgeois d '"ajustement" récession économique et de "réformes structurelles" anti- "travail". En plus des récompenses plus concrètes, monétaire, bien sûr ...

De cette compréhension correcte de la crise politique actuelle et la procédure de mise en accusation, le prolétariat et les communistes doivent déclarer ouvertement sa position: pas endosser ou appuyer aucune faction bourgeoise dans leur lutte fratricide pour le pouvoir et la possession temporaire de l'appareil d'Etat capitaliste. Il est le prolétariat et les communistes, cependant, signaler l'état actuel des choses et de construire leur position politique de classe indépendante et autonome.

5 - La lutte de classe prolétarienne au Brésil: route longue et difficile de reconstruire son parti, sa position politique indépendante, son influence sur la masse

L'ensemble de l'analyse ci-dessus, compte tenu du principe marxiste-léniniste des actions autonomes, indépendante de la classe ouvrière, la critique de la démocratie bourgeoise et l'analyse concrète de la situation réelle actuelle du Brésil, qui englobe le caractère de classe des gouvernements PT en crise capital et la crise politique, tous les points à une réponse unanime à la question du titre de cet article. Lorsque nous demandons si elles le peuvent, dans la situation brésilienne actuelle, la classe ouvrière et les communistes prennent parti dans les conflits entre factions bourgeoises en faveur de l'un ou de l'autre, dans le cas d'une procédure de destitution Dilma, la réponse ne peut être un NON retentissant!

Le prolétariat et les communistes brésiliens doivent rejeter, une fois de plus, les chemins indiqués par les courants bourgeois opérant dans le mouvement syndical et les mouvements "populaires". Ils doivent rejeter à la fois se contenir dans les limites étroites de revendications purement institutionnelles pour mettre fin à ses luttes de classes, que rejeter catégoriquement être limitée perpétuellement, il suffit de choisir la "moins pire", "meilleur opérateur" (sic!) Entre bourgeoises options disponibles dans les processus électoraux (comme le «dilemme» Dilma ou Aécio à la dernière élection) ou même maintenant dans le processus de mise en accusation (Dilma ou la peur).

Les pressions, voire des accusations contre cette position NO, venant de réformisme et de l'opportunisme qui prévaut dans ces partis de gauche et dans les syndicats et les mouvements «populaires» -! (Sic!) Qui va dire que cela est à la droite du jeu ou en omettant - le prolétariat et les communistes doivent suivre la maxime de Dante, inspiré Marx: suivez il tuo corso, et Lascia dir le Genti!

L'immense tâche que le prolétariat et les communistes ont devant eux n'a rien à voir avec ces faux dilemmes et les choix entre factions bourgeoises. La construction de la seule véritable façon pour le prolétariat à se libérer de l'exploitation capitaliste est de suivre la longue et rude chemin dans lequel il n'y a pas de raccourcis possibles:

Pour organiser et à lutter quotidiennement contre la bourgeoisie et son système d'exploitation.

Tenez la théorie scientifique du marxisme-léninisme et de la sienne, faire l'analyse de classe correcte de notre situation et de définir sa position politique et sa ligne d'action.

En bref, votre organisation et de sensibilisation.

Et dans le processus d'organisation, de lutte et d'étude, reconstruire le parti politique du prolétariat, le Parti communiste, l'outil de sa libération.

1 - Dans cet article, nous utilisons le terme «factions» dans le sens de «groupes partisans d'individus de la même cause, par opposition à d'autres groupes [... modernité, le terme est venu à désigner esp. chaque groupe antagoniste qui conteste la suprématie politique »(Concise Oxford. Dictionnaire de la langue portugaise). En d'autres termes, le terme se réfère à des groupes de règlement des différends (ou bandes) pour le pouvoir politique, étant confiné à la sphère de la représentation politique.

Ainsi, il n'a pas affaire, ici, les conflits et les contradictions de fractions du capital, fractions de la bourgeoisie, qui exigeraient une analyse de plus essoufflé que celui que nous vous proposons aujourd'hui.

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